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  • Les travaux à l'étang du Corra

    Suite à notre demande, l’ONF nous a aimablement fourni les informations suivantes concernant les travaux réalisés ou prévus à l’étang du Corra :

    Le site de l’étang du Corra, à l’extrémité nord de la forêt, subit une très forte fréquentation et se dégrade depuis plusieurs années : disparition de la  végétation des berges, intensification du ravinement, dépérissement des arbres… L’ambiance paysagère s’en trouve même altérée. Une partie des berges a été temporairement interdite d’accès au public, tant pour des raisons de sécurité qu’afin de ralentir leur dégradation.

    A l'issue d'une étude réalisée en 2005, une première tranche de travaux a été réalisée à l'automne 2009. Elle concerne la restauration de la berge nord de l'étang, une partie étant aménagée pour le public (plages, platelage permettant de traverser une roselière, pontons de pêche, panneaux d'information...), une autre étant interdite d'accès et réservée à la protection de la biodiversité (clôtures et panneaux explicatifs).

    La présente opération concerne la deuxième tranche de travaux, prévue en 2011, correspondant aux berges sud et ouest, et à l'aire d'accueil dans sa globalité, au-delà des berges de l'étang.  Elle a pour objectif d'améliorer la qualité de l'accueil, tout en respectant la biodiversité et est couplée à une opération de préservation écologique (création d'ilôts servant de zones refuges pour les oiseaux).

    Les travaux consisteront notamment en :

    - aménagement et délimitation des cheminements pour les promeneurs,
    - rénovation de mobilier (panneaux, bancs...)
    - aménagement d'un accès à la berge sud
    - aménagement de points de vue paysagers sur l'étang
    - protection d'une partie des berges par mise en défends (clôture végétalisée)
    - panneaux d’information et de découverte (création d'un mini sentier pédagogique sur le thème des oiseaux fréquentant l'étang et la forêt)
    - renaturalisation d’emplacements occupés par des équipements obsolètes
    - aménagement des accès piétons/vélos au site: ouverture d'un passage dans le mur de clôture de la forêt, permettant un raccordement aux futures liaisons douces envisagées par les communes riveraines
    - abattage d'arbres dépérissants et plantations paysagères dans les prairies bordant l'étang au Nord
    - transformation d'une presqu'île en île (tranquillité des oiseaux) par création d'un chenal

  • Tema la vache, ou l'élevage en ville

    Téma la vache est une association qui a pour ambition de développer un réseau opérationnel de compétences autour de la mise en œuvre de projets d’agricultures urbaines. A côté de chez nous, le projet de Saint-Germain-en-Laye en est l’illustration.

    Pour tout savoir sur l’association et sur le projet : ne manquez pas de lire la première newsletter.

    C’est ici : Tema_La_Vache_newsletter_Juin2011.pdf

     

  • Parution d'un ouvrage de Robert Levesque : "Terre Nourricière"

    Le livre de Robert Levesque, Ingénieur agronome Mansonnien, est paru aux éditions de l’Harmattan.

    En abordant le sujet de la terre nourricière, ce livre parle de l’avenir de l’homme et de son alimentation.

    L’agriculture actuelle pourrait satisfaire les besoins alimentaires de la planète, encore faudrait-il que ce ne soit pas au détriment des générations futures. Ce serait en fait une victoire à la Pyrrhus. Pour résoudre le problème alimentaire mondial, l’homme doit modifier extrêmement rapidement ses modes de consommation et de production, en mettant fin au pillage des biens communs de l’humanité : le climat, la terre nourricière et les éléments minéraux, non substituables, comme les phosphates et la potasse. Le danger le plus immédiat se nomme dérèglement climatique. À cet égard, nous disposons de bien trop d’énergies fossiles.

    Pour résoudre les crises environnementales, l’homme doit changer de paradigme. À l’individualisme, la concurrence, doivent se substituer la solidarité, la coopération. Un accès aux biens communs de l’humanité doit être assuré à tous.

    En référence à Epicure, ce livre est une invitation pressante à la vie prudente, honorable et juste pour préparer l’Ecolocène.

    À recommander à tout politique, économiste, aménageur, responsable et citoyen qui aurait oublié son rapport à la nature.

    Pour en savoir plus : Terre_Nourriciere.pdf

  • Parution de la Lettre du CADEB de juillet 2011

    Le CADEB est un Collectif d’Associations pour la Défense de l’Environnement dans la Boucle de Montesson.

    A noter dans la lettre N°32 de juillet 2011, les sujets suivants :

    « La véloroute Paris Londres traverse la boucle en longeant la Seine » : Découvrez l’itinéraire cyclable qui reliera Paris à Londres en 2012 pour l’ouverture des JO de Londres. Il traverse la boucle de Montesson puis Maisons-Laffitte et la forêt de Saint-Germain.

    « Actualité des transports dans la boucle » : avec en particulier la question de l’arrêt d’Eole dans la boucle, à Houilles ou à Sartrouville.

    Vous pouvez télécharger la lettre sur le site du CADEB : www.cadeb.org

  • Présentation du projet "La rue... on partage... à Maisons-Laffitte"

    Introduction

    Le titre du projet est inspiré du titre du concours régional auquel nous avons participé : « La rue… on partage ». Notre projet s’inscrit dans les objectifs du concours tels qu’ils ont été exprimés : « le mieux-vivre ensemble en ville, la coexistence et la sécurité des différents moyens de déplacement, l’aménagement d’espaces de vie et d’échange, la formation à l’usage de la ville et à l’environnement urbain ».

    A partir de préoccupations liées à la sécurité des enfants et des parents autour des établissements scolaires Ledreux (école élémentaire) et Cocteau (maternelle et collège), nous avons défini un périmètre de projet, réalisé un premier diagnostic avec différents interlocuteurs et indiqué des pistes de solutions. Ils sont l’objet du document réalisé par notre association en mai 2011.

    Périmètre du projet

    Le projet s’intéresse aux enfants et aux parents, mais aussi aux autres usagers de la rue, les riverains par exemple, puisqu’ils interagissent avec eux.

    Il s’intéresse à tous les modes de déplacement sans stigmatiser une population ou un type d’usager.

    Le périmètre physique du projet comprend le quartier où se situent les établissements scolaires cités, ainsi que les trajets principaux des parents et des enfants. Il est donc délimité par : la rue de la Muette au Nord, la forêt à l’Ouest, l’avenue Charles-de-Gaulle au Sud et la gare à l’Est.

    Il s’agit d’un projet pluridisciplinaire dont le but est en priorité d’augmenter la sécurité des déplacements dans le secteur considéré. Les autres bénéfices attendus du projet sont une diminution du stress et des nuisances liées à la circulation, une augmentation de la part modale des modes de déplacements « actifs » (marche, vélo,…), une meilleure qualité de vie pour toutes les générations, un mieux-vivre ensemble.

    Pré-diagnostic

    Il s’agit d’un « pré-diagnostic » et non d’un diagnostic finalisé. En effet, il sera vraisemblablement complété lorsqu’une enquête plus large sera réalisée auprès des usagers de la rue.

    Ce pré-diagnostic a mis en valeur différents éléments : le contexte général et l’organisation des entrées / sorties des établissements scolaires, les configurations des rues, les difficultés plus spécifiques liées à la voirie ou aux comportements des usagers.

    Pistes de solutions

    De la même façon, nous parlons de « pistes de solutions » et non de solutions finalisées car celles-ci pourront être partiellement amendées ou affinées au cours du projet. Les pistes de solutions se partagent en différentes catégories : elles peuvent concerner la voirie et les aménagements, l’organisation des entrées / sorties des écoles, les solutions promouvant les modes de déplacement « actifs » plutôt que l’usage de l’automobile pour la dépose des enfants, et un important volet sensibilisation / communication à destination de tous les usagers de la rue et selon des moyens appropriés à chaque public : enfants dans les différentes classes d’âge, adultes.

    Les Services de la Ville seront sollicités dans leurs domaines de compétences respectifs. Une cohérence sera recherchée avec les programmes scolaires sur les différents aspects du projet : sécurité routière, mais aussi responsabilité, autonomie, respect d’autrui, usage de la ville,… : les équipes enseignantes et plus généralement les différents types d’intervenants en milieu scolaire pourront être sollicités également.

    D’autres interventions pourront être menées avec l’aide d’associations : les associations de parents d’élèves, des associations spécialisées dans la promotion des modes de déplacement « actifs ».